l En plus de l’inexistence des commodités citées précédemment, notamment le raccordement à l’eau potable, le gaz naturel et un éclairage public défaillant, la mini-zone industrielle de Aomar a aussi souffert de la non jonction de son réseau interne d’assainissement à la voie principale. Mais concernant ce manque, les occupants n’ont pas attendu que les services concernés publics se manifestent pour le leur réaliser. Dès les premiers instants, un investisseur rappellera “nous nous sommes mis à l’œuvre, et nous avons raccordé nos canalisations au réseau principal”. De la sorte la mini-zone n’a connu ni fosses septiques, ni aucun autre bricolage consistant à évacuer les eaux usées vers les Oueds.
D’ailleurs, ajoutera-t-il “si on ne l’avait pas réalisé, on n’aurait pas bénéficié de cette commodité jusqu’à maintenant”.
Omar Soualah
