Les Bougiotes victimes de la partialité de l’arbitre

Partager

Le JS Ighil Ouazoug, un club sociétaire du championnat de la régionale II GA, selon son entraîneur Mokhtar Djouder a été victime d’un mauvais arbitrage lors de la rencontre l’opposant à l’ES Ben Abknoun.

Le constat fait par notre interlocuteur est accablant à plus d’un titre et la mort dans l’âme, la défaite de 4/0 subie par son équipe ne reflétait guère la physionomie du match ou la victoire est à la portée de ses poulains, juge-t-il.

“De prime à bord, il change l’arbitrage à 48 h du déroulement de la rencontre sans donner les raisons. Nous avons eu à faire à un très mauvais arbitrage qui nous a lésé sciemment” dira le coach bougiote qui ne décolère pas devant le parti-pris de l’arbitre en faveur de l’équipe algéroise.

“Il nous a enlevé deux penaltys indiscutables en 1e mi-temps. Dès l’entame du second half, il a commencé à favoriser alors ouvertement l’équipe de Ben Aknoun, à la 46e minute il lui accorde un coup franc imaginaire à la limite des 18 mètres qu’un des leurs a transformé en but, 10’ plus tard, il siffle un penalty inventé sans qu’il y ait de faute ou surcharge, penalty matérialisé par un deuxième but.

Quelques minutes après, il ferme les yeux sur un hors-jeu indiscutable ce qui a permis aux joueurs algérois d’en rajouter un 3e but. Seul le 4e but n’est pas entaché d’irrégularité.

Nos joueurs démoralisés par les agissements malsains ont lutté quand même jusqu’à la dernière minutes”, rajouta notre interlocuteur. Le problème de l’arbitrage se pose avec acuité et notre football est rendu malades par certains référés en noir.

Par les maladresses de certains d’entre eux, nombres de rencontres de football et d’amitié sont transformées en vraies batailles rangées sur la pelouse et dans les gradins. Nos instances de football doivent tirer la sonnette d’alarme, sinon où va notre football ?

L. B.

Partager