La Dépêche de Kabylie : Votre excellence, comment voyez-vous les relations des deux pays (Algérie, Italie) dans le domaine de l’enseignement de la langue italienne dans les établissements scolaires algériens ?
M. Giampaolo Cantini : dans ce domaine, il y a un soutien de l’Italie à l’Algérie dans le cadre de l’accord culturel bilatéral. Cet événement est une occasion pour donner des éléments de mise à jour des enseignants, il y a donc, des demandes d’échanges d’expériences dans le domaine littéraire, les méthodes pédagogiques telle que l’utilisation de la nouvelle technologie d’information. Ce sont des instruments importants.
Pourquoi ?
Parce que la langue doit d’abord être vivante. C’est-à-dire une langue adaptée dans l’usage quotidien, surtout à travers l’influence des moyens de communication.
Comment comptez vous procéder pour intégrer l’enseignemenet de la langue italienne dans les écoles algériennes ?
L’enseignement de la langue est vraiment lié au succès des méthodes didactiques et des instruments pédagogiques par informatique et la nouvelle technologie. C’est important pour les enseignants d’utiliser ces méthodes selon des techniques de perspective.
Comment voyez-vous les relations culturelles entre l’Algérie et l’Italie ?
Ce sont des relations intenses. il y a des manifestations telle que la semaine culturelle italienne, qui donnent de nouvelles perspectives sur des tendances plus récentes de la culture italienne ici à Alger et vice-versa en Italie. je pense qu’il y a des potentialités.
Avez-vous des projets pour généraliser l’enseignement de cette langue dans les autres régions kabyles telles que Béjaïa, Bouira….
On a commencé par Tizi-Ouzou et on va travailler pour faire de même pour les autres wilayas.
Kafia Aït Allouache