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Du biquotidien au menu des Canaris

Une reprise qui s’est déroulée sous la houlette de Benhamlat adjoint de Saïb en raison de l’absence de ce dernier retenu pour une affaire personnelle et qui devrait rejoindre son groupe dans l’après-midi car le staff technique avait programmé deux séances pour la journée d’hier.

Durant la première séance qui s’est déroulée-comme cela est devenu une habitude sous le regard attentif de nombreux supporters-on a remarqué l’absence de pas moins de six éléments pour différentes raisons à l’instar du duo annabi Bensaïd-Athmani, des Béjaouis Dehouche et Oussalah et de l’Oranais Bengorine qui se trouvaient encore chez eux et autorisés à manquer la séance matinale avant de rejoindre leurs coéquipiers pour la séance de l’après-midi. Quant au Béninois, Wassiou, retenu avec sa sélection nationale depuis plus d’une semaine, il devra rallier Alger ce jeudi comme il l’avait annoncé à ses dirigeants au téléphone depuis le Bénin où il se trouvait encore. Pour ce qui est de Zafour, qui avait contracté une blessure lors du match face à l’ESS, et qui a bénéficié d’un repos d’une dizaine de jours, il se contente pour le moment de poursuivre les soins au niveau de l’infirmerie et son retour parmi le groupe devra se faire au début de la semaine et il aura largement le temps de récupérer de sa blessure et pourquoi pas être fin prêt pour le match contre l’ASK.

Concernant Bourekba et Traoré, ces deux éléments qui accusent un manque terrible sur le plan physique et qui n’ont pas pris au moindre match depuis le début de la saison, ils se sont contentés hier d’effectuer des tours de pistes avant de se diriger vers la salle de musculation.

A signaler que lors du sixte entre les joueurs, le jeune attaquant Derrag a dù écourter la séance après avoir ressenti des douleurs au niveau de la cuisse.

De peur que cela soit un réveil de la blessure qu’il avait contracté lors du dernier match face au NAHD, le joueur a préféré se rendre directement à Alger pour y effectuer une échographie afin de se rassurer sur la nature de son bobo, comme il nous l’a confié au moment où il prenait la route de la capitale au volant de sa voiture.

A.C

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