Que de commentaires se font dès qu’il s’agit de parler d’Histoire.
Cette dernière n’est objective que dans la mesure où elle prend l’évolution d’une communauté, pays, nation, à travers le cours du temps. Pour cela, (re)conquérir les vérités historiques s’avère plus que nécessaire et indispensable pour asseoir les fondements d’un avenir meilleur pour les peuples. Cela implique la reconnaissance de sa propre identité, en d’autres termes de soi. C’est dans le même sillage que s’inscrit le colloque intitulé “ Les Amazighs et l’Islam, quatorze siècles d’histoire”, dont l’ouverture a eu lieu hier et se tient du 3 au 5 décembre à la Bibliothèque nationale d’El-Hamma. Etaient présents à la cérémonie d’ouverture le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Abdellah Ghlamallah, le SG du HCA, Youcef Merahi de même que d’autres universitaires du monde religieux, linguistique et de l’Histoire.
Les travaux de la première journée étaient consacrés à la problématique du colloque : “L’Afrique du Nord et le passage de l’Antiquité au Moyen Age en Méditerannée” qui était entre autres un des thèmes exposés pas les conférenciers.
Ahmed K.