Sans poste depuis la fin de l’aventure avec la sélection algérienne, l’entraîneur français prend le temps de la réflexion avant de se lancer dans un nouveau challenge. Jean-Michel Cavalli est toujours sur le marché. Libre de s’engager là où il le souhaite. Des offres se sont pourtant présentées ces derniers temps. Elles émanaient de Turquie, de Grèce, du Maroc et même de Libye. « Mais je préfère être patient, nous explique le technicien français. Cela me fait du bien après dix-huit mois à la tête de la sélection algérienne. Je réfléchis. J’hésite toujours entre prendre en main un club ou une sélection. »