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Brèves… Brèves… Brèves… Brèves… Brèves… Brèves… Brèves… Brèves…

Béjaïa

Hommage à Cheikh Sadek Abjaoui

l La wilaya de Béjaïa célèbre le centenaire de la naissance du Cheikh Saddek Abjaoui, figure emblématique de la musique classique, par l’organisation d’un festival de musique andalouse au campus universitaire de « Targa-Ouzemmour ». Une nouba chère au maître, celle de r’mel maya, dirigé par un de ses disciples, Mohamed Rais a donné le « la » à cette manifestation réveillant l’ambiance de spectacle que Cheikh Saddek assurait, il n’y a pas très longtemps encore au théâtre régional de Béjaïa. « Je le sais mort, mais il continue d’être en moi », confie simplement Hayet, une quinquagénaire férue de musique andalouse visiblement sous le double coup de l’émotion et du charme.

Libye

La manifestation “Alger, capitale de la culture arabe” et le théâtre algérien revisités

l Le théâtre et la manifestation « Alger, capitale de la culture arabe 2007 » ont été au centre d’une conférence organisée jeudi à l’Institut supérieur des techniques artistiques de Tripoli, à l’occasion de la semaine culturelle algérienne, entrant dans le cadre de « Tripoli, capitale de la culture islamique 2007 ». M. Mokhtar Khaldi, directeur de la culture de la wilaya de Boumerdès, a donné un aperçu des activités organisées à l’occasion de la manifestation « Alger, capitale de la culture arabe 2007 ». « Un bond », a-t-il dit, a été donné au livre à travers l’édition de 1001 titres dont certains ont été réédités ou traduits, publiés chacun en 1000 exemplaires, l’organisation de salons du livre (international, maghrébin et de jeunesse) et l’organisation d’ateliers autour du livre et de la littérature.

Oran

« Feynouq », une bande dessinée pour enfants qui fait fureur

l La bande dessinée (BD) a connu grâce à la parution Les aventures de Feynouq (le petit fennec), de l’artiste peintre Hamid Amrani, un bond qualitatif à Oran. Ce jeune « bédéiste » tente à travers le personnage central de son magazine, consacré au neuvième art, de donner un nouvel essor à cette forme d’expression, qui a vu le jour en Algérie durant les années soixante-dix sous l’impulsion de pionniers qui avaient donné naissance à la revue « M’qidech » où trônait en bonne place « Richa » et ses aventures qui faisaient tordre les zygomatiques des lecteurs de l’époque.

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