Optimisme des uns et pessimisme des autres

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Au premier jour de l’examen du baccalauréat de l’année scolaire en cours, le lycée Mohamed Boudiaf d’Ath Laqser a accueilli 295 candidats répartis en trois filières. 21 en sciences de gestion, 39 en gestion économique et 235 en sciences humaines.L’administration de cet établissement a, avec le concours du personnel pédagogique, réuni les conditions nécessaires pour mener à bien le déroulement de cet examen. Répartis sur 15 salles, les 69 encadreurs réquisitionnés à cette circonstance, tous paliers confondus, ont contribué d’une manière appréciable à l’effet de permettre aux différents candidats de retrouver confiance et de détendre l’atmosphère où le trac règne en maître. Ainsi, à la sortie des classes à midi, le sourire et la joie renseignent en effet, sur la maîtrise et la compréhension des sujets. La plupart des élèves sont unanimes à dire que le sujet de langue arabe est à la portée de tous, et aucune difficulté ne s’est posée. Samia qui se présente à cet examen pour la seconde fois, nous confirme : “C’est un sujet très facile que tout un chacun peut aborder et décrocher une bonne moyenne”. Dans l’après-midi, les candidats ont traité le sujet de langue anglaise. Dans ce centre, pratiquement, les élèves n’ont quitté leurs salles respectives qu’à la dernière seconde du temps imparti. En interrogeant les élèves sur la nature de ce sujet, Nawel candidate en sciences humaines et qui passe son examen pour la première fois nous dit : “Ce sujet nous a beaucoup surpris. Il est diffile, les questions sont toutes liées au texte partiellement incompris. Même le temps ne nous a pas suffi pour tout terminer”. Le même avis est partagé par sa copine Warda qui craint encore un autre couac. Elle affirme : “Le visa auquel nous aspirons risque de ne pas être empoché si d’autres sujets se présentent comme celui de l’anglais”. Notons enfin que durant cette première journée, aucun incident n’est à signaler, bien au contraire l’examen s’est déroulé dans une atmosphère détendue.

M. Smaïl

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