Le goudronnage du CW11 reliant le chef-lieu de la commune d’Ahnif à la localité de Sebkha (voire jusqu’aux limites géographiques de la commune, à savoir Ighzer Oumaziav), a été entamé depuis quelques jours par les services concernés.
Les premiers travaux de réfection, longtemps espérés, ont débuté à partir du lieu “Bouramane” en sa qualité de carrefour, dont une des routes relie la localité de Tiksrai, pour laquelle une distance un kilomètre de chemin a été refait, mais pour des raisons “techniques”, ces travaux ont été arrêtés à la suite du non-achèvement d’un autre projet inhérent à l’assainissement, par voie de conséquence cela gêne énormément l’entreprise réalisatrice de la réfection de poursuivre, voire achever son projet.
Selon les citoyens, ce projet d’assainissement a pris énormément de retard, chose qui influe non seulement sur le second projet cité mais également sur les déplacements quotidiens des citoyens lesquels subissent la boue et la poussière, selon les saisons. Les habitants auraient rédigé une pétition à ce sujet qui aurait été transmise aux autorités concernées pour faire activer la cadence des travaux, sans pour autant oublier de régler les différentes contraintes auxquelles sont confrontées les entreprises réalisatrices.
Le second tronçon réalisé est celui reliant ledit carrefour au village Ighil n’Ath Rayou, sur une distance approximative de quatre kilomètres en attendant son achèvement au niveau du village Ighzer Oumaziav. Une question reste néanmoins posée : ladite entreprise a arrêtée depuis une dizaine de jours ses travaux, mais pourquoi n’a-t-elle pas poursuivi ses travaux de réfection sur sa lancée jusqu’à Ighzer Oumaziav dans le cas où ces mêmes travaux rentrent dans le cadre du programme de réfection, en sens inverse du chemin, vers le chef-lieu en attendant que les différentes contraintes soient levées ? Une réponse est attendue par les citoyens du village qui continuent toutefois à espèrer.
Messaâd Kaci