C’est une initiative appréciée en effet positivement par la masse juvénile en bute à un réel déficit en terme d’information concernant tous ces mécanismes d’aide aux jeunes chômeurs.
Il y avait en plus des encadreurs de la maison des jeunes des Ouadhias la participation de M. Si Seghir, cadre à l’Ansej de Tizi Ouzou, les représentants des banques au niveau local, Badr et BNA mais également l’APC représentée par M. Ouerd, premier vice-président. Tout ce beau monde s’est mis à la disposition de la jeunesse à travers la conférence-débat où les questions et autres interrogations n’ont pas du tout manqué.
On retiendra que quelque 300 dossiers ont été déclarés éligibles par l’Ansej pour la daïra des Ouadhias, et ce selon les estimations de M. Seghir durant l’après-midi l’opportunité a été offerte aux stagiaires du CFFA dirigé par M. Bachouche pour se familiariser avec ce mécanisme. “Il s’agit pour ces stagiaires de bâtir un avenir et un devenir pour que les efforts de l’Etat qui consacre des budgets colossaux pour la formation de ces jeunes ne soient pas vains”, déclarera M. Bachouche. Dans ce sillage, le 1er adjoint-maire, M. Ouerd, fera savoir qu’un bureau d’information et d’orientation de la jeunesse sera incessamment ouvert à l’APC des Ouadhias. Pour sa part, le SG de la daïra abordera la question du programme présidentiel des 100 locaux par commune.
Il dira à ce propos que les promoteurs de l’Ansej seront priorisés lors de l’attribution de ces locaux ; il citera à titre d’exemple l’imminent lancement de ce projet à Tizi n’Telta. Du côté des jeunes, on notera principalement leur appréhension quant aux lenteurs bureaucratiques qui retardent l’avancement des projets. “Durant cette journée, nous avons constaté un énorme déficit en information chez les jeunes, de telles initiatives doivent en effet se multiplier”, conclura M. Amar Khirous, directeur du MJO.
Z. A.
