Désorganisation dans le transport collectif

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l Bien que la commune de Aïn Hdjar soit située à une quinzaine de kilomètres à l’ouest de Bouira, c’est-à-dire en petite banlieue, ses habitants continuent toujours de souffrir du manque de transport à longueur d’année. Ce ne sont pas les véhicules de transport qui font défaut, mais plutôt l’absence d’organisation manifeste ; ce sont les usagers de la commune de Aïn Hdjar qui en subissent les conséquences. La plupart des transporteurs qui desservent la ligne Aïn Bessem-Bouira, à travers la RN18, transitent obligatoirement par la commune de Aïn Hdjar, qui est en réalité un passage inévitable. Seulement, un problème se pose, celui des transporteurs qui arrivent à chaque fois surchargés, et quand ils passent vides, ils ne s’arrêtent pas, sous prétexte qu’ils sont tenus d’assurer la liaison Aïn Bessem-Bouira, sans s’arrêter à une quelconque localité se trouvant sur l’axe. Et de cette manière, les écoliers, les travailleurs de la commune de Aïn Hdjar, et même ceux des autres villages situés aux abords de la RN18, trouvent des difficultés à trouver un moyen de transport quotidien. Dans ces conditions, les transporteurs assurant la ligne Aïn Hjar-Bouira, sont interpellés par les citoyens de cette commune, pour qu’ils les prennent en charge de façon juste et équitable et qu’ils puissent vaquer à leurs préoccupations quotidiennes, sans contraintes, ni retard, comme cela a été très souvent le cas.

Fahem H.

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