L’école militaire polytechnique s’ouvre aux médias

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Des virées effectuées au sein de cet établissement afin de faire connaître cette prestigieuse école au grand public ainsi qu’aux étudiants et élèves intéressés par une carrière militaire.

L’école militaire polytechniques, a été fondé en 1967, avec pour objectif la formation d’ingénieurs et de techniciens supérieurs. En 1959 l’ENITA devient l’EMP, l’école s’occupe maintenant de l’enseignement d’ingénieurs militaires ainsi que de la prise en charge pédagogique des post-gradués, à savoir l’encadrement en magistère et en doctorat.

L’école militaire polytechnique occupe un espace de 52 hectare, où l’espace bâti est de 69 621m2. On y trouve des amphithéâtres, des salles de cours, ainsi que 24 laboratoires et des ateliers équipés des dernières inventions technologique. L’encadrement pédagogique sest assuré par d’éminents chercheurs et professeurs, à noter que l’école recèle 180 enseignants permanent c’est-à-dire militaires, et 90 enseignants chercheurs conventionnés. Côté étudiants on trouve 150 élèves en magistère et 40 élèves chercheurs en doctorat. Ajouter à cela les différentes sessions de formation continue qui s’élève à 60 par an où près de 1000 personnes sont bénéficiaires des sessions destinées au personnel militaire et civil.

A signaler aussi les conventions signées par l’école militaire avec les universités étrangères, notamment françaises telles que Paris XII, ou encore l’université polytechnique de Lyon. Des échanges en matière de technologie et de savoir-faire et même des encadrements d’étudiants préparant les différentes thèses.

L’école polytechnique est l’ambassadrice de l’Armée nationale populaire au niveau international, elle est membre de la force transatlantique (OTAN), et membre dans l’organisation mondiale contre les essais nucléaires.

Enfin, l’école s’apprête à innover en matière d’enseignement et d’enrichissement des filières déjà existantes, a noter le management militaire, le général Amara dira en conclusion :  » Nous sommes sur la bonne voie pour mettre en place un tel dispositif, car c’est un outil très important.  »

Lounis Melbouci

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