l Je l’ai connu en 1976 lors d’un gala. Il était une personne qui ne parlait pas trop. Il donnait de la valeur à ses dires et à lui-même. On a fait un gala à Boghni, et on a chanté ensemble. Je dirai aussi que depuis toujours, des frissons m’envahissaient à chaque fois que j’entendais sa voix et ses chansons. Comme Akceyagh Tavratt. C’était un homme de grande valeur et il était très gentil et très calme. Il était modeste et il aimait tout le monde. Enfin, je dirai que Dieu ait son âme. Je l’ai appelé déjà pour qu’il vienne à l’Etablissement Arts et culture, où animait Hacène Ahres, malheureusement il était absent. Il a laissé un trésor.
