Dans le cadre des PCD de l’année en cours, cinq chemins municipaux sont programmés,
alors que depuis le début de l’année d’autres opérations ont été concrétisées. Le tour a été donné au bitumage du chemin qui relie Aouaoudha à la RN 68 en passant par les Smail et Draâ El Kor.
“C’est une inscription de l’année 2007 Enfin, cette route est bitumée. Elle permettra aux habitants des villages précités de rallier la ville en empruntant cet axe pour prendre la RN 68”, nous a confié à ce sujet le maire de Draâ El Mizan. Certes, le réseau routier est en nette amélioration mais faudra-t-il le rappeler, son entretien est insuffisant.
On signalera au passage à titre d’exemple la route allant de Tazrout à Tizi Larbaâ. A ce niveau, le manque d’accotements constitue un danger au quotidien. “Il y a eu déjà de nombreux accidents dont un mortel”, nous a dit un citoyen de Tazrout. Si les routes rurales sont prises en charge, il est attendu le bitumage de certains accès en ville. A ce propos,nous avons appris que leur revêtement en tapis se fera dès que les trottoirs seront terminés. “Actuellement, c’est toute la ville qui bénéficie de trottoirs. Il y aura même leur dallage à l’image de celui qui va du CEM Krim Rabah au siège de la Protection civile”, nous a ajouté une autre source.
A Draâ El Mizan, ce à quoi il faudra peut-être donner une priorité est la réalisation d’une rocade qui diminuerait les embouteillages d’un côté et soulagerait les riverains de l’autre. Il est devenu presque impossible de traverser notamment le grand boulevard aux heures de pointe et au passage des camions de gros tonnage. L’avenue Larbi Ben M’Hidi est la plus dangereuse en raison des véhicules lourds qui l’empruntent.
Si par malheur les freins d’un semi-remorque venaient à lâcher, il se passerait une hécatombe au niveau de la mosquée. A quand cet évitement tant souhaité ? se demande-t-on.
Amar Ouramdane