Suite au séisme de mai 2003, les services du CTC ont réformé deux classes de l’école primaire de ce village des années après leur démolition.
Les autorités n’ont pas engagé les travaux de réalisation d’autres classes. “Pourquoi ce blocage ! Et pourtant ailleurs tout ce qui a été démoli a été reconstruit.
Notre école a bénéficié d’un projet de reconstruction d’autres classes”, nous a déclaré un citoyen du village.
La localité souffre également de la pénurie d’eau. Et pourtant un réseau d’AEP a été réalisé en 2004, mais il n’a jamais été mis en service, nous ont indiqué les citoyens de ce village.
Le manque de classes dans l’école a contraint les responsables de l’école à user du système de notation et contrairement aux autres élèves, ceux de cette école sont appelés à suivre des cours à des heures tardives de la journée.
L’école souffre également du manque d’eau depuis 2003. Pour cela, on a fait appel à des citernes, avec tout ce que cela peut provoquer comme maladies pour les écoliers.
On a constaté aussi le manque de sanitaire, de locaux administratif et l’aménagement de la cour de cet établissement de plus de 80 élèves au niveau du village, les habitants dénoncent le non lancement des travaux d’aménagement de l’axe routier de 500 mètres environ, qui se situe au centre de cette localité. D’autres projets tardent également à être lancés à l’exemple du tronçon de la RN 71 qui relie Tizi Ussenane à Tibecharin sur une distance de près de 6 km.
M. H.