Le projet de la clôture en dur a été lancé à la fin du mois passé. Un entreprise a entamé les travaux qu’elle compte terminer avec la rentrée des classes. En effet, ce collège est le seul au niveau de la commune dont la clôture reste toujours en grillage. Cette opération réjouit notamment la Direction de l’établissement ainsi que les agents de sécurité et de gardiennage contraints à être toujours sur le qui-vive pour éviter toute intrusion. “Le CEM a ouvert ses portes en 1987. Nous trouvons que le clôturer en dur est un moyen de le préserver”, a noté un agent en poste depuis vingt et un ans. Concernant l’entretien de ce collège, il nous a été donné de remarquer qu’aucune dégradation n’est observable. “ Nous avons mis en place tout un dispositif de surveillance. Chacun joue son rôle, du concierge en passant par les agents de nettoyage jusqu’aux élèves sensibilisés sur la préservation de l’immobilier et du mobilier. Nous n’enregistrons que de petites dégradation que sont réparées dès leurs annonce au factorum”, nous a déclaré un adjoint d’éducation. Par ailleurs au niveau de cette municipalités, les autres opérations inscrites au profit des écoles primaires sont en cours. “Toutes les entreprises sont en place. Chaque école a besoin de réfections. Il y a des travaux de peinture, des dallages de cours et d’autres réparations diverses”, nous a confié à ce sujet M. Kamour, premier adjoint au maire. Il est peut être utile d’ajouter que l’inauguration du lycée est la préoccupation première des élus. De leur côté, les parents souhaitent que cette infrastructure soit mise à la disposition de leurs enfants qui souffrent des déplacements jusqu’à Draâ El Mizan. Et peut-être qu’avec ce nouveau lycée, l’internat du lycée Ali-Mellah fermera ses dortoirs après plus de trente ans de fonctionnement. Cela étant écrit, il est attendu au niveau du primaire le remplacement des poêles à mazout qui ne fonctionnent plus comme il se doit, et ce afin d’empêcher ces petits chérubins de souffrir du froid.
Amar Ouramdane
