Il est inadmissible que M. Aït Hammadouche Hakem, en sa qualité de président, ignore le nombre de restraurants “Errahma” ouverts par l’honorable organisation qu’il préside. Pour son information, onze restaurants sont ouverts par le C-RA au niveau de la wilaya de Tizi-Ouzou, au lieu de neuf qu’il a annoncé. Pourquoi feigne-t-il d’ignorer l’ouverture de deux restaurants par les comités locaux d’Azeffoun et de Tizi-Ouzou ?
S’agissant du “traditionnel restraurant Errahma” de Tizi-Ouzou, qui n’est pas ouvert pour absence d’autorisation selon ses dires, pourquoi verse-t-il dans la confusion pour ne pas dire dans le mensonge ? En guise d’explication donnée à notre direction à propos de ce “traditionnel restraurant Errahma”, M. Hammadouche Hakem, a avancé une autre raison à l’origine de sa fermeture, à savoir un prétendu différend avec le comité local de la daïra de Tizi-Ouzou. Néanmoins, des autorisations d’ouverture ont été délivrées aux organisateurs de l’esnemble des restraurants “Errahma” opérationnels. Concernant ses déclarations relatives à son organisle (?) qui a priviligié la distribution des repas, ignore-t-il les orientations et les recommandations consignées lors des différentes réunions tenues par le comité local de solidarité dont il est membre, stipulant de favoriser l’octroi des couffins alimentaires aux populations démunies par rapport à la préparation des repas, et ce, pour préserver la dignité du citoyen. Par ailleurs, je me demande pourquoi M. Hammadouche Hakem se sent-il “privé” des dons de la Sonatrech ? Qu’il se rassure que les couffins alimentaires attribués par cette société nationale citoyenne, que je remercie au passage, ont fait l’objet de distribution. A lire les déclarations de M. Aït Hammadouche Hakem, je me réjouis de découvrir qu’il ne manque pas de soutien de la part de différents bienfaiteurs, contrairement à ses habituels propos par lesquels il ne cesse de se plaindre du manque de moyens d’intervention. Puisque, il ne souffre plus de ce manque, j’espère qu’il contribuera conséquemment à toutes les opérations humanitaires à mener. Enfin, les remarques faites sur “la pauvreté qui a pris des proportions alarmantes”, je me demande sur quelles bases a-t-il tiré ces conclusions ? En effet dans le cadre de l’élaboration de la carte sociale de la wilaya et de son actualisation, le constat ne cadre aucunement avec ses perceptions.
A ce sujet, j’invite M. Hammadouche Hakem à regarder autour de lui pour constater que la situation n’est pas alarmante.