Ainsi, durant toute l’après-midi de la journée de lundi, l’établissement, relevant de la DJS, a été le théâtre de nombreuses activités destinées à sensibiliser les écoliers, ceux issus des écoles primaires du chef-lieu de la commune, sur les précautions à prendre lorsqu, il est question d’accompagner leur scolarité, mais en veillant sur leur sécurité, un rôle que doivent assumer les parents d’élèves, les agents de la Sûreté nationale et les autorités locales à travers l’élaboration d’un plan de circulation à même de permettre de réguler la circulation routière.
Profitant de cette occasion, les organisateurs ont programmé en outre, une pièce théâtrale sur le thème du danger de la drogue en tant que phénomène destructeur de la vie des jeunes, surtout dans les lycées où il est constaté une forme de malaise à cause des maux sociaux dont ils souffrent. Par ailleurs, la chorale de la maison de jeunes a égayé l’assistance de chants traditionnels kabyles et patriotiques, avant de laisser la parole à l’officier chargé de la prévention routière à la sûreté de daïra pour animer une conférence-débat, où il a passé en revue le rôle de la police nationale dans le domaine de la prévention routière, notamment dans les grands centres urbains où un travail continu est assuré pour appliquer le code de la route, même si des difficultés peuvent surgir sur le terrain en raison du non respect par les usagers de la voie publique des règles fixées pour circuler en ville, chose devenue difficile avec l’inexistence à Boghni d’autres voies de contournement et la prolifération des lieux de stationnement.
En somme, la communication reste un moyen efficace pour parer aux accidents qui peuvent survenir devant les écoles. Ce rôle doit être assumé par les parents d’élèves, les enseignants et les éducateurs des structures des jeunes, comme cette association de Aït Mendès appelé “trait d’amitié”, laquelle a participé activement à cette journée.
M. Haddadi