Plusieurs structures universitaires en perspective

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Le premier chantier a été celui où se réalisent 4 amphithéâtres, 27 classes pédagogiques, 16 laboratoires, c’est-à-dire le bloc du département technologie qui accueillera l’année prochaine quelque 2 000 nouveaux inscrits. Sur place, le wali s’est félicité de la qualité des travaux réalisés.

Il a toutefois insisté sur l’accélération des travaux pour les amphis qui restent la priorité des priorités. Il a aussi instruit le bureau d’étude en charge du suivi pour veiller à un aménagement extérieur qui prendra en considération les facteurs en mesure de mettre l’apprenant dans les meilleures conditions.

L’espace clos des salles, la charge intellectuelle des cours, sont des éléments stressants et fatigants. L’étudiant à la sortie doit se retrouver dans un espace aéré, vital en mesure de lui permettre de se relaxer. La délégation a suivi des explications concernant les projets d’un auditorium et d’une bibliothèque. Là aussi le wali a insisté sur la nécessité d’intégrer ces deux réalisations dans un environnement global où les soucis restent la préservation de l’espace vital pour les étudiants. Le troisième point sera le restaurant universitaire qui servira 800 couverts et qui atténuera la pression sur ceux existant déjà au niveau de la cité filles et celui de la cité garçons de l’ex-ITE. Signalons que ce restaurant universitaire est un aménagement de l’ex-dépôt de la société Edied. Les remarques lors de la visite ont porté sur la qualité des matériaux, les délais de réalisation et l’obligation de rattacher cet ouvrage aux blocs pédagogiques par une voie bien faite.

La cité 2 000 lits, située au niveau de la cité des 200-Logements au nord de la ville est l’autre projet visité pour la circonstance. Les entreprises chargées de la réalisation des chambres, du restaurant, du foyer ont été invitées à accélérer la cadence des travaux pour éviter toute surprise à la rentrée. Le wali aura des garanties que les réalisations seront livrées avant la fin de l’année en cours. L’autre point inspecté a été l’ex-ITE qui devait subir une réhabilitation. Ce site sera le seul point noir de cette sortie puisqu’à défaut d’une réelle réhabilitation, il a été question d’une couche de peinture et de réparation de l’étanchéité. Le premier responsable a exigé une reprise des travaux à confier à un bureau d’étude. Signalons enfin que ces réalisations s’ajoutent à celles déjà en place mais qui ne suffisent plus. Elles sont là pour atténuer la pression en attendant les grands pôles universitaires auxquels sont réservés 52 ha.

Merzouk Abdenour

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