Ainsi, la somme de deux milliards trois cents millions de centimes a été jugée suffisante pour mener à terme, certains projets, devant améliorer le cadre de vie du citoyen.
En fonction des besoins de chaque municipalité, ce montant peut être considéré comme insuffisant par certaines qui envisagent de donner un nouveau souffle à leurs communes.
Les quatre municipalités qui composent la daïra d’Aïn El Hammam, bénéficieront des mêmes subventions, même si les besoins diffèrent en fonction de la population et de la situation.
Aïn El Hammam, chef-lieu de daïra dont dépendent vingt-quatre villages ne peut être mis sur le même pied d’égalité qu’une petite commune de six à sept villages.
Cependant, une municipalité ayant cumulé des retards dans la réalisation de ses projets ne peut prétendre à une autre enveloppe, au détriment des autres.
La population attend des réalisations ou des projets qui verront le jour, dans un proche avenir. Pourtant, si l’on raisonne en termes de besoins à satisfaire, exprimés par les représentants des villages, il faudrait une subvention annuelle beaucoup plus importante pour que les choses changent. Dans le cas contraire, nous aurons encore l’impression de tourner en rond avec les éternels problèmes d’assainissement, les bétonnages de ruelles ou d’éclairage qui reviennent annuellement et n’en finissent jamais. Il est temps de les régler, définitivement pour offrir mieux, aux citoyens.
A.O.T.
