Ce que dit la loi

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n Depuis plusieurs décennies, le législateur algérien a adopté une position plus au moins floue par rapport à la faisabilité de la transplantation à partir d’un cadavre. s’il n’interdit pas ouvertement à toute personne voulant faire don de ses organes après sa mort, elle incite, très implicitement, les médecins à prendre l’avis de sa famille avant de pouvoir intervenir. Une gymnastique juridique est souvent nécessaire pour que la transplantation puisse se faire. Toutefois, on croit savoir que ladite loi est en passe d’être revue et corrigée pour permettre un meilleur éclairage juridique. D’après les informations en notre possession, un registre de donneurs d’organes sera incessamment mis en place pour permettre à toute personne voulant faire don de ses organes de s’y inscrire de son vivant.

A. B.

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