L’agresseur est un jeune d’une trentaine d’années que l’on présente comme dépressif, et les victimes ne sont que sa propre mère et sa nièce qui se trouvaient là au moment du drame.
Il est sept heures en ce jour férié, des coups de feu retentissent au domicile familial. L’agresseur qui a piqué, a-t-on rapporté, une vive colère a usé d’un fusil de chasse pour tirer en l’air dans un premier temps avant de poursuivre sa mère qui s’est réfugiée dans la cuisine.
Le forcené, l’a visée pour l’atteindre grièvement avant de prendre la fuite. La victime, 56 ans, a été évacuée vers l’hôpital d’Amizour, où l’on a diagnostiqué trois blessures au niveau du bras gauche, du thorax et de l’abdomen.
Sa seconde victime, qui n’est autre que la nièce de l’auteur de l’agression, a été touchée par une salve de balles au niveau des jambes.
Après une intervention chirurgicale, la malheureuse se trouve, selon une source médicale, hors de danger, mais toujours sous surveillance médicale étroite. Ironie du sort, au moment où l’on fetait la journée de la femme, cette mère vient pas de recevoir des balles tirées son propre fils, alors qu’elle mérite des fleurs. Elle pourra les recevoir sur son lit d’hôpital.
N. T.
