A l’entrée de Aïn Bessem, en provenance du sud ou de l’ouest, l’automobiliste est accueilli par un très beau rond-point qui, bien entendu, l’oblige à ralentir, avant de se diriger vers la ville.
Une fois le sens giratoire effectué, il est surpris par une couche très épaisse de bitume. En fait, l’automobiliste est obligé d’emprunter le tapis flambant neuf prévu à sens unique, en attendant que l’autre voie, à sens unique aussi, lui soit accessible. Seulement, cela fait au moins six mois depuis que le chantier y est engagé et les travaux ne semblent toujours pas en passe de finir.
Pourtant, ni la nature du terrain ni, encore moins, la longueur du tronçon (près de 300m) ne justifient ce retard.
B.D.B.
