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Retard dans le plan d’aménagement rural

C’est dans cet objectif de fournir un cadre de vie décent et des infrastructures de base vitales, que l’APC a demandé une aide de l’Etat pour aménager un territoire classé parmi les plus vastes de la wilaya.

Ainsi, les associations et comités de villages ont été saisis afin de proposer des projets à soumettre à la wilaya.

Des visites sur le terrain sont faites pour, dans une première phase, procéder à l’ouverture des pistes agricoles afin de faciliter le travail des champs et le transport des productions.

Cet hiver très rigoureux et pluvieux a considérablement gêné l’activité et des tonnes d’olives ont dû pourrir sur place, faute d’accès ! Des terrains sont restés en friche !

De même qu’il a déjà été procédé au bitumage de routes principales menant vers les villages de L’Tama, Iguessoum, Kettous…) débarrassant ainsi définitivement les villageois de la boue et de la poussière.

Mais le projet qui attire le plus l’attention consiste dans la proposition de l’aménagement complet (routes, trottoirs, éclairages…) d’un village (Zeboudj-Kara) qui servira dans le futur d’opération-pilote à étendre à l’ensemble des villages de la commune. Selon les membres de l’exécutif, le projet a été retenu par la wilaya et un bureau d’études domicilié à Tiaret a emporté le projet et même procédé, en 2008, aux études préliminaires.

Mais selon toujours la même source, celui-ci s’est dessaisi au profit d’un autre bureau d’études de Blida.

Le président de l’APC, sous la pression des citoyens et du comité de village entreprend actuellement de relancer le projet qu’attend avec espoir la population pour améliorer sa vie quotidienne.

Il est indéniable que de telles actions rapprochent l’Etat du citoyen et concrétisent sur le terrain l’objectif du développement durable et de justice sociale.

Bouammar Ahmed

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