La JSK à l’épreuve de l’Afrique

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La délégation kabyle a, pour rappel, passé la nuit de mercredi à jeudi à Paris. Avant-hier, les Canaris ont pris l’avion pour Conakry avec deux heures de retard sur l’heure prévue. Au bout d’un long et harassant voyage de près de huit heures, l’avion avait enfin atterri sur le tarmac de l’aéroport international de Conakry en début de soirée. Hier, dans le matinée, Coste a programmé une séance de travail matinale. Selon les échos en provenance de Conakry, le coach français a préféré pour cette séance soumettre son groupe à un galop d’entraînements légers, une séance de décrassage en somme pour récupérer du long voyage. Aujourd’hui, Coste aura droit de faire exercer son groupe sur le terrain principal de Conakry où aura lieu la rencontre. Cette dernière est prévue pour demain, à 16 h GMT, soit à 17 h. Hier, il était difficile de joindre la Guinée. Les premières informations, qui sont parvenues au siège de la JSK, ont été par le biais de l’ambassadeur algérien avec lequel un contact a été noué. “Tout se passe normalement bien pour l’équipe qui est à pied d’œuvre à Conakry. C’est difficile de les joindre, mais notre ambassadeur sur place nous a rassurés. On vient d’avoir un contact avec lui et il devrait leur rendre visite, ce matin, à l’entraînement”, nous a appris hier peu avant midi, le secrétaire général de la JSK, M. Boukhari, qui guettait le téléphone au bureau du club. En milieu d’après-midi, M. Maskri, président de la séction, resté, lui, à Tizi Ouzou, nous a indiqué que le président Hannachi avait appelé pour donner des nouvelles du groupe. En effet, excepté le taux d’humidité assez élevé qui sévit sur place, les conditions d’hébergement ne sont pas mauvaises.

S. K.

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