La perle du judo El Kseurois

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Cette distinction qui l’honore au plus haut point, fait d’elle l’une des plus jeunes et l’unique médaillée bgayetie qui a atteint cette sommité, ce qui est selon nombreux observateurs dont son coach Mohamed Bouheddou, un exploit à plusieurs facettes d’abord par rapport à sa petite école El Kseuroise qui, bien que connue pour son volley-ball, conforte encore sa popularité.Ensuite par rapport à toute la ville de Bgayet qui a inscri à son palmarès ce grand titre. A tout le judo national qui marque ainsi ces jeux avec une athlète encore si jeune. La fierté de Soraya est donc ainsi partagé et son coach la savoure plus que tout autre, pour avoir à l’entraîner aussi bien au niveau du club qu’en équipe nationale. Ce riche palmarès à l’orée de sa carrière l’a promène à un avenir des plus prometteurs dans une discipline qu’elle pratique depuis son jeune âge et qui par le travail, le sérieux et l’abnégation l’a déjà propulsé au plus haut niveau, n’est qu’une juste issue, la récompense et surtout la parfaite osmose et jonction entre l’athlète et la discipline.Certes, Soraya qui a déjà acquis une expérience estimable dans ce sport en maîtrise déjà des techniques mais elle doit encore travaller et s’améliorer pour assimiler davantage ces techniques et notamment au sol et à l’endurance…Et pouvoir également remonter son classement mondial déjà très satisfaisant et uivre la voie tracée par son aînée et exemple Salima Souakri.Son coach Bouhedou ne tarit pas d’éloges à son égard et la promet à d’autres titres et médailles qu’elle doit encore disputer à l’avenir dans les prochains challenges, il dira “Soraya ne fait qu’entamer une carrière au plus haut niveau qui est déjà assez riche en titres et en maintenant ces performances et en s’améliorant dans certains gestes techniques, tactiques elle n’en sera que plus meilleure… La médaille d’or d’Almeria est un exploit comparativemetnt à Souakri qui ne l’a qu’après onze années de pratique de haut niveau”. Soraya n’a toutefois pas tout gagné puisqu’elle a raté son bac, pour se rendre au Japon et y honorer les couleurs nationales. Un choix qu’elle a fait en toute responsabilité à son détriment en sacrifiant sa scolarité.Aussi doit-on y tenir compte et lui renvoyer l’ascenceur en l’aidant pour son inscription une inscription à l’Institut du sport. Une petite demande acceptable et bien méritée pour une si grande athlète… et très peu pour tous les services rendus à l’Algrie.

Oulhadj

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