La dépêche de Kabylie : Bonjour coach. Quelles sont les nouvelles ?
Jean Christian lang : Tout se passe bien, Je suis arrivé samedi à Genève et je me suis rendu ensuite en montagne dans le Jura chez ma belle-mère. C’est à côté de Sochaux. Je dois me rendre demain chez moi à Sète. Quant à ma fille, je ne la verrai que dans une semaine, lors de mon déplacement à Paris. J’avoue que je suis ravi de retrouver les miens, mais je dois reconnaître que la Kabylie me manque déjà et j’espère la retrouver très bientôt.
Peut-on savoir où en sont justement les négociations avec la JSK ?
Les choses avancent bien et les négociations se poursuivent toujours entre mon agent Dris, et le président Hannachi. Je reste confiant, car je suis persuadé que les deux hommes parviendront à trouver un accord qui arrangera les deux parties. Je suis même convaincu que cela ne saura tarder.
Des efforts doivent être consentis de part et d’autre pour lever l’unique obstacle qui est d’ordre financier afin d’arriver à un accord qui ne lésera personne.
Votre nom est cité dans la presse d’aujourd’hui pour driver d’autres équipes à l’image de l’ES Sétif. Qu’en est-il au juste ?
Ah bon ! J’avoue que je ne lis pas la presse ces jours-ci. Les gens peuvent dire ce qu’ils veulent, mais en ce qui me concerne, tout en avouant que j’ai plusieurs offres alléchantes dont je suis très flatté, mais par respect pour la Kabylie, je n’ai pas encore voulu répondre, car j’accorde la priorité à la JSK.
Je n’étudierai les autres offres qu’une fois les négociations épuisées avec la JSK.
Donc vous êtes optimiste pour reprendre du service à la barre technique des Canaris…
Tout a fait. J’ai entamé un travail et j’aimerai bien le continuer.
Les négociations pour un autre bail avec cette équipe se poursuivent et j’ai bon espoir quant à l’aboutissement d’un accord.
Une chose est sûre, c’est que dans ma tête je suis toujours kabyle.
Entretien réalisé par S.Klari