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L’université signe deux conventions-cadres avec les universités de Dijon et de Mulhouse

Dans le cadre de la coorporation inter-universitaires, le recteur de l’université de Béjaïa, Merabet Djoudi, a signé, hier, deux conventions-cadres portant sur la recherche scientifique, l’enseignement et la diffusion des connaissances scientifiques avec l’université de Bourgogne-Dijon, représentée par sa présidente le Pr. Sophie et l’université de Mulhouse, représentée par la directrice du mastère Economie sociale et solidaire, Jasique Stoessel.

Outre l’échange d’enseignants et d’étudiants entre l’université de Béjaïa et celles de Dijon et de Mulhouse, les conventions-cadres consistent également, entre autres, en la participation à l’élaboration des programmes de formation et d’enseignement et de concours de recherches scientifiques.

L’accord signé prévoit aussi l’échange d’informations sur les activités scientifiques, comme il fait mention du coencadrement du doctorat dans le cadre de programme conjoint de recherche et de l’accompagnement et de l’échange dans le domaine de la nouvelle carte européenne de formation LMD.

Au cours de la cérémonie de signature de la convention, les représentants des trois universités ont brossé chcun un tableau sur la situation des établissements qu’ils dirigent.

Pour Merabet Djoudi, l’université de Béjaïa, qui compte aujourd’hui quelque 36 000 étudiants, existe depuis le XIIe siècle et portait, à l’époque le nom de l’université Sidi Touati. Elle a seulement été interrompue par les invasions espagnoles, turques et française que la ville de Béjaïa a eu à subir au cours de son histoire.

Depuis sa création, sous la forme moderne en 1983, elle a formé 31 000 diplômés.

Elle est dotée de 15 laboratoires de recherche dont la plupart sont voués à la recherche en agro-alimentaires. Pour sa part, la présidente de l’université de Dijon indiquera que son établissement qui est pluridisciplinaire, compte 25 000 étudiants, 1 000 doctorants et 3 000 étudiants de nationalités étrangères.

B. Mouhoub

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