l Après la grave accusation dont est victime l’institution militaire algérienne de la part d’un haut gradé de l’armée française, un général à la retraite, concernant l’assassinat des moines de Tibéhirine en 1996, le président de la République française, Nicolas Sarkozy, a souligné qu’aucun obstacle ne sera dressé devant l’enquête sur cet assassinat, en promettant que «le secret défense sera levé sur tous les documents que demandera la justice concernant la mort de sept moines français en Algérie en 1996, pour lesquels l’armée algérienne est suspectée».
Le président français s’exprimait lors d’une conférence de presse tenue à l’Elysée, avec le président brésilien Luis Inacio Lula da Silva.
M. M.
