4 personnes décèdent dans des accidents divers en moins de 24 heures

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Parfois, quand ils sont avertis à temps, les médecins et les éléments de la Protection civile interviennent d’une manière aussi rapide que décisive pour sauver des vies et éviter des hécatombes. Mais souvent, très souvent, les pompiers ne sont alertés qu’une fois le sinistre produit, et ils ne sont là que pour constater des décès et transférer les corps sans vie des victimes vers les hôpitaux. Et des journées comme cela, les pompiers de Tizi-Ouzou en comptent beaucoup. Celle d’hier samedi, par exemple, en est la parfaite illustration. Quatre vies humaines ont quitté ce monde dans des circonstances différentes, dans des endroits distincts.

A Tirmitine, sur la RN 25, les jeunes Massinissa K. (29 ans) et son ami Ali N. (25 ans) ont été brusquement ravis aux siens suite au dérapage de leur véhicule (une Wolkgswagen de type Golf 2). Alertés tôt dans la matinée, les éléments de la Protection civile se sont rendus sur les lieux du drame pour extirper les deux victimes de la ferraille qui les emprisonnait et les transférer vers le CHU Nedir-Mohamed de Tizi-Ouzou.

Le même jour, au cours de la même matinée, les pompiers de l’unité d’Azazga s’affairaient à repêcher le corps sans vie du jeune Samir L., âgé d’à peine 24 ans, qui se serait noyé dans une retenue collinaire tout près de Fréha.

D’après les premières constations faites sur place, le décès remonte à la journée du vendredi.

La victime a été repêchée des eaux torse nu. Ses chaussures et son tee-shirt ont été retrouvés aux abords de la retenue. Les pompiers ont, par la suite, transporté le corps vers l’hôpital d’Azazga.

Toujours, dans le chapitre des “repêchages”, une dame M. O., âgée de 57 ans, a été remontée du fond d’un puits situé près de son domicile, au village Aït Amar, commune d’Aït Bouaddou, dans la daïra des Ouadhias.

Ahmed B.

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