Un grand pôle qui a donné naissanceà l’élite actuelle disparue ! ?

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l Le CRB Darguine peut se targuer d’avoir contribué dans les années 1988 d’avoir été l’un des grands pôles de la discipline du volley-ball, il a contribué par sa composante à former les grands joueurs du moment qu’il parvenait à mettre au pas les ténors de l’époque, à l’image de l’O Médéa battue haut la main à la veille de son départ pour un challenge africain. Ce grand club a disparu à cause d’une mesure qui à l’époque lui imposait de disposer d’une équipe féminine… Ce qui à l’époque lui faisait défaut… Mais ses joueurs ont poursuivi leur carrière à l’image de Rezak Bouguera qui connut les grandes sensations africaines et qui se permet jusqu’à l’heure d’évoluer au beach-volley dont il est vice-champion national (1er tournoi Bgayet 2005 organisé par la LRCE) ou de Athmane Moula actuellement coach, ou d’autres comme Tayeb Taleb, Omar Benaiche Merar Farid ou des frères Bougaya. Certains activent encore pour la discipline et sont des cadres au sein des ligues ou des clubs d’autres se sont retirés, mais restent quand même dans le sillage de ce sport qui les a vu grandir et qui a fait leur célébrité. Tout ce grand travail est avant tout l’œuvre de tout un ensemble d’hommes et à leur tête le maire de cette ville qui mettra tous les moyens à la disposition du club qui ne manquera de rien pour avoirs évolué dans les hautes sphères de la discipline et fait honneur à sa ville. Mais c’est également le fruit d’une travail minutieux soigné et engagé d’un technicien nommé Rachid Kechtal toujours opérationnel au niveau du NCB, qui driva et mena cette équipe de 36 à 90 et à en bâtir à Darguina tout en pôle de développement qui se propagea bien loin pour atteindre d’autres contrées comme Kherrata, actuel sociétaire de la national et qui a repris le flambeau de sa voisine Darguina. Certe le volley-ball ne se porte que bien à Bgayet, mais il serait mieux de revoir un jour cette belle région reprendre sa place parmi l’élite, rien ne lui marque pour ce faire. Il suffit seulement d’une volonté partagée comme ce fût le cas par le passé. Allez darguina, allez !

Oulhadj

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