Lakrarib, est allé combien de fois exposer ses préoccupations à Aomar, et à kadiria, mais en vain. Aussi, rour dernierement elle a entrepris d’autres démarches vers celles-ci, a fini par obtenir satisfaction sur deux points de premier plan. Comme il a été souligne, précédemment par certains membres du comité de village ayant assisté au déroulement des entretiens, lesquels ont insisté sur les débats fructueux qui ont sanctionné l’entrevue, les espoirs tant reposés sur cette dernière visite n’ont pas été que de simples préssentiments. Ainsi donc, une première bouffée d’oxygène est venue rendre plus sain encore l’aire circulaire caractérisant le tronçon de route de 5 km environ séparant Aomar de Lakrarib, fissuré sur tout son long, et présemé de nids de poule à certains endroits, une remise en l’état de la wilaya 23, dit tout souriant Aâmi Benyoucef “dont nous nous réjouissons, elle nous facilité facilité l’accès chez nous, et nous permet d’aller ailleurs” ces derniers mots prononcés par le villageois montrant qu’il n’y a pas que la voie reliant Aomar à Lakrarib qui a reçu une attention toute particulière, le projet en question, précise t-il “s’est étendu jusqu’aux limites de Kadiria, laquelle a prit en charge les 5 km le reliant à Lakrarib, et Aomar à intervenu sur les 5 autres relevant de sa circonscription”. Ce n’est pas tout, l’autre point et pas des moindres contenu dans la plate forme de revendications auquel l’autorité à répondu favorablement concerne l’eau potable, laquelle n’a pu parvenir des années durant à Lakrarib malgré sa dotation d’un réseau AEP interne, et des fontaines publiques, ceci du fait de la non mise en service de la station de pompage de Boulerbah. D’ailleurs ce second acquis que l’ADE à apporté à Lakrarib, nous l’avons suivi en direct de bout en bout, l’entreprise à procédé au “lâchage” de l’eau par ilots de maisons, ce qui à fait dire à la personne m’entretenant “ça y est on vient de me téléphoner, l’eau coule dans les robinets de certaines habitations, mais pas encore chez moi”.
A. Chérif