Suite aux inondations de 2005 les habitants ont bénéficié d’une cité de recasement, sur la maquette la cité est un éden, mais le chantier traine.
Situé au coté Sud à 800 mètres du centre ville la cité destinée a offrir toute aisance retient plus ses promesse car tout est en chantier permanent.
A toute chose malheur est bon, les résidants sont confrontés quotidiennement à des souffrances malgré les promesses faites par les autorités locales ou autres administrations la situation demeure dramatique, un accès impraticable causant des désagréments aux usagers, soit véhiculés ou à pieds notamment en période de pluies où il faut lutter contre la boue, la canalisation des eaux-usées n’est aucunement raccordée à la principale elle se déverse sur la route avec une odeur nauséabonde. Eclairage public bricolé car rien n’est conforme au normes.
Alimentation en eau potable réalisée par les résidents l’ADE qui a pris uniquement le soin de placer des compteurs. “Ajouté à cela le problème majeur lié à la non délivrance des actes de propriété par l’institution compétente malgré que quelques uns d’entre eux ont versé la somme de 100 000 DA pour son établissement”. Ces propos sont ceux d’un résident qui tire la sonnette d’alarme afin d’attirer l’attention des autorités concernées pour leur venir en aide avec des solutions concrètes qui apaiseront les souffrances qu’il endurent.
Une question reste posée, les nouvelles infrastructures de la nouvelle ville ne méritent-elles pas le bénéficie d’une attention particulière.
Une seconde question : “Cette cité qui abrite les nouvellse infrastructures de la nouvelle ville d’Azeffoun ne méritent-elles pas une attention particulière pour un développement répondant aux normes modernes.
Les initiatives existeront elle pour un bon aménagement ?
Sahnoune Karim