Les sportifs honorés
Initiée par les soins du club sportif, JS Chemini, une réception a été organisée au siège de la mairie, en l’honneur de tous les athlètes du club communal qui regroupe des disciplines telles le football, l’athlétisme et le karaté et ce en présence du P/APC, du représentant du chef de la daïra, du chef de la Sûreté, des présidents des trois lignes de Bgayet et quelques anciens et nouveaux dirigeants du club. Les athlètes affiliés au club ont ainsi reçu des équipements sportifs et d’autres dirigeants longuement remerciés pour les efforts qu’ils mettent en œuvre pour rehausser l’aura de la discipline et l’éducation de la jeunesse. Par ailleurs, il a été procédé à la baptisation de l’école du club de football du nom de feu Mourad Abdelouahab, enfant de la région, ancien coach du CRB et champion d’Afrique avec l’EN en 1990. De même, une demande a été formulée pour que le stade communal porte le nom de feu Maouche Mohand Amokrane, enfant de Tissira et premier président de la FAF.
T. D.
La terre menace
A Takhlicht, un drame a été évité de justesse. En effet, une femme d’une quarantaine d’années vient tout juste de sortir d’une échoppe pour se rendre chez elle, au moment où elle a été surprise en cours de chemin par un sol qui s’est affaissé. Prise de panique à la vue de la terre qui se dérobait sous ses pieds, elle a vite crié et demandé secours. Ainsi, de nombreux villageois se sont précipités vers les lieux et entamé une bagarre avec les forces de la nature, chacun tirant la femme de son côté. Après maints efforts, ils ont pu sortir la malheureuse et lui éviter ainsi une mort certaine dans un gouffre très béant. A rappeler que l’année passée, à la même période, au même village, la terre a glissé, occasionnant dans son mouvement des fissurations graves aux murs de nombreuses maisons dont les habitants ont été relogés ailleurs.
T. D.
Un élève exclu du lycée
Ces derniers jours, un mouvement de grève enclenché par les élèves a paralysé le lycée Ouddak-Arab. Ce mouvement, nous apprend-on, vient suite à un échange verbal malsain entre une enseignante et son élève.
Ayant refusé de se justifier en présence de son père, l’élève est traduit en conseil de discipline à la suite duquel des decisions ont été prises. Soit l’élève sera muté au lycée d’Akfadou, soit il sera muté au lycée de Sidi Aïch.
Avec le soutien de l’association des parents d’élèves, le père a finalement accepté, la grève est suspendue par les élèves qui se sont solidarisés avec leur ami, eux-mêmes se disant victimes d’un traitement verbal déshonorant de la part de l’administration. Pour l’heure, ajoute-t-on, la décision de la mutation de l’élève est entre les mains de l’Académie, à Bgayet.
T. D.