La Dépêche de Kabylie : le rideau vient de tomber. Quelles sont vos premières impressions ?
Salhi Mouloud : mon premier sentiment est d’abord la satisfaction complète dans la mesure où l’activité qu’on appréhendait avait été concrétisée et les objectifs que nous nous sommes préalablement assignés ont été atteints, c’est-à-dire une réelle contribution à la promotion du cinéma amazigh à travers le court métrage qui a drainé l’engouement de la population, la qualité indéniable des projections et j’en veux pour preuve les débats enrichissants qu’ils ont suscités. Notre Ithri restera un éternel éclaireur de notre quotidien.
Ithri Adelsan brille depuis des années, peut-on en avant-première connaitre la figure culturelle à laquelle sera rendu hommage prochainement ?
Vous savez fort bien que les hommages se construisent avec difficulté vu qu’il très difficile de trouver un calendrier adéquat. Cependant, les noms ne manquent pas ; d’ailleurs, depuis que notre bureau s’est attelé à cette tâche en 1994 on n’a pas chômé, une palette d’artistes, d’hom mes de culture et de sciences sont régulièrement honorés en visitant leurs personnes et leurs œuvres.
Quel est votre dernier mot ?
Je tiens à remercier vivement toutes les personnes, institutions et autres opérateurs économiques qui ont contribué à la réussite de cet événement et nous donnons rendez-vous très proche à tous les amis de la culture et jaloux de sa défense et promotion.
Propos recueillis par T. D.
