Au chef-lieu de la commune de Tizi n’Tleta, une autre décharge sauvage ne cesse de grossir au fil du temps ; celle-ci est située à quelques mètres du lycée à Ighil Imoula, une autre à Cheurfa.
Les ordures ménagères sont autant de déchets solides dont le volume devient au fil du temps gigantesque tendant à se transformer en un véritable casse-tête pour les habitants, les automobilistes que pour les autorités. Ces monticules d’ordures garnissent les abords des routes, et tendent à prendre de l’ampleur.
A titre d’exemple, les ordures ménagères aux abords de l’axe routier reliant le village d’Aït Abdelmoumène vers la commune sont de retour ainsi et en dépit du nettoyage effectué il y a quelques mois, le naturel a repris le dessus et certains énergumènes semblent ne pas se gêner pour jeter en plein jour leurs déchets au vu et au su de tout le monde. Au chef-lieu de la commune de Tizi n’Tleta, une autre décharge sauvage ne cesse de grossir au fil du temps ; celle-ci est située à quelques mètres du lycée à Ighil Imoula, une autre à Cheurfa. Les habitants et les riverains se plaignent de cette insupportable situation, du fait que ces ordures pourrissent l’environnement qui est menacé et nuisent à leur bien-être. Les mauvaises odeurs, les nuées insectes porteurs de maladies, la fumée qui empoisonne et pollue les foyers se chargent du reste. Vu tous les désagréments suscités, ils est préférable d’avoir une décharge réglementaire. Pourquoi pas une décharge contrôlée ou un centre d’enfouissement technique pour la localité ?
M. Zerbout