Paul le poulpe avait « prédit » avec justesse toutes les victoires et défaites de l’Allemagne dans la Coupe du monde. Si certains lui prédisent une belle friture, d’autres à l’image de Zapatero compte lui envoyer une équipe de protection pour avoir choisi l’Espagne.
Et puis toutes ces belles prédications changent des Brésil – un tel, des Allemagne – tel autre et des Italie – un autre. Alors juste un vent passager, une brise rafraîchissante ou un ouragan qui durerait plus longtemps et dévasterait tout sur son passage ? Trop tôt pour tirer des conclusions. Les traditionnels » grands » ont fait long feu : la France et l’Italie ont calé dès le premier tour ; l’Angleterre et à un degré moindre le Portugal n’ont pas survécu aux huitièmes de finale ; le Brésil et l’Argentine sont retournés en Amérique du Sud juste après les quarts ; et l’Allemagne n’a pas survécu aux demi-finales.
Paul le poulpe, la vuvuzela, resteront désormais dans les annales de la coupe du monde à l’image de pelé Di stefano.
Ferhat Zafane
