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Maâtkas Le réseau routier / Rétrécissement et dégradation

En dépit des efforts consentis ces dernières années par l’actuel exécutif communal, le réseau routier est en deçà des espérances des citoyens et des usagers.

Il faut rappeler que la municipalité de Maâtkas compte 45 villages, c’est comprendre par là que les réseaux routiers comptent des centaines de kilomètres d’où le casse-tête des élus locaux et leur incapacité à prendre en charge toutes les préoccupations des usagers de la route.

Hormis les chemins d’Ighil Aouen, d’Aït Zaim et de Cherqiya qui relient le chef-lieu, qui sont à peu près en état carrossable mais bien rétrécis. Car les constructions se font sans le respect des normes et les habitants essayent toujours de gagner quelques dizaines de centimètres sur la chaussée.

Du côté de Berkouka, c’est un réseau important qui est laissé à l’abandon et sans caniveaux, ce qui explique la disparition du bitume par endroits, engendrant d’énormes crevasses et autres nids-de-poule.

Les chemins de El Bir, Takhribt et de Tighilt Tekhdibine, pour ne citer que ceux-là sont dans un état lamentable et deviennent à la longue le cauchemar des automobilistes.

Quant aux chemins vicinaux, ils sont toujours poussiéreux et étroits pour la plupart. La commune de Maâtkas a besoin d’un véritable plan Marshall pour sortir la tête de l’eau.

C. H.

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