Afir Massy Juniors à la JSK : Un jeune talent qui émerge

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Parmi les jeunes qui feront parler d’eux à l’avenir et qui font les beaux jours de la JSK, Massy Afir, surnommé Belkalem, reste la coqueluche de ses entraîneurs. En coriace stoppeur qui assume son poste à merveille, Massy est vite repéré pour faire partie de l’équipe junior, par l’entraîneur de cette catégorie, M.kadri Ali et Toufik Smaili, qui le considère déjà parmi son groupe. Mieux, il l’a déjà enrôlé dans son effectif dans un match de coupe, la saison écoulée. Cet entraîneur pour qui il n’est pas inconnu, reconnaît qu’il est un élément exemplaire de par sa ponctualité son gabarit, son sérieux et ses prouesses techniques. Massy de son côté affirme qu’il a commencé à taper sur le ballon de fortune dès son très jeune âge, et fait toutes les catégories au sein du club. Concernant ses études qu’il a dû interrompre au profit de la balle ronde, il ne le regrette que peu et espère aller le plus loin possible en football. Et comme tout autre jeune footballeur, son rêve le plus cher est d’épouser une carrière professionnelle et de jouer en senior à la JSK. Ses idoles, ce sont bien sûr Belkalem, mais aussi Coulibaly et Puyol du Barca. Il reconnaît également qu’il se plaît actuellement à la JSK qui renferme de très bons joueurs. Il espère voir ce club, qui ne date pas d’hier, aller plus loin. Massy tient par ailleurs à remercier ses entraîneurs Kherroubi et Smaili qui l’ont aidé à émerger et à être enrôlé dans le club, ainsi que le journal la Dépêche de Kabylie qui lui a ouvert ses colonnes. D’autre part, son père, en l’occurrence Saïd Afir l’humoriste, est très fier de son fils qu’il a toujours encouragé pour poursuivre son rêve, à savoir le foot. Il dit ne pas s’être opposé à la volonté de son fils en choisissant le foot aux études, pourvu qu’il aille loin et réalise parmi les jeunes qui feront parler d’eux à l’avenir et qui font les beaux jours de la JSK. «Je félicite tous ceux qui m’ont aidé depuis ma première année et particulièrement Ali Kadri, Kherroubi et Amar Gaaz sans oublier Karouf», conclura Massy.

Antar Boufatis

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