Brèves d’Adekar

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Une route abandonnée

La route se prolongeant du lycée au CEM dans le chef-lieu de la commune d’Adekar, se trouve depuis bien longtemps, dans un état de dégradation avancé.

Les habitants du voisinage contraints d’emprunter ce tronçon de route, en véhicule ou à pied, endurent un vrai calvaire au quotidien et ne cessent de réclamer son aménagement.

Des crevasses et nids-de-poule formés au fil des années, rendent la circulation des usagers de cet axe, des plus épuisante. Les quelques riverains de cette route que nous avons rencontrés avouent :

“Malgré la dernière opération de revêtement à laquelle ont eu droit plusieurs quartiers de la municipalité le nôtre n’a pas été touché.” Les habitants de ce quartier dénoncent la politique des deux poids et deux mesures des autorités locales à l’égard des différents quartiers de la même localité. Il faut dire que cet axe routier n’est guère moins important que les autres, vu que les collégiens, lycéens et stagiaires du centre de formation professionnelle l’empruntent régulièrement pour rejoindre leurs établissements respectifs.

Mohamed Haddad

Des eaux usées en plein quartier

Des eaux usées se déversent à ciel ouvert au quartier d’ Ouighlen à la sortie est du village Aguemoune qui relève de la commune de Taourit-Ighil, et cela, depuis l’hiver passé sans que personne ne daigne faire quoi que ce soit pour réparer cette anomalie.

Pas moins de dix familles vivant dans ce quartier, souffrent quotidiennement des odeurs nauséabondes qui émanent d’une mare de résidus d’eaux usées, apparue suite à l’éclatement d’un regard de conduite de ces eaux, il y a de cela plus de six mois.

Le plus grave dans tout cela est que celles-ci coulent sur une conduite d’eau potable. “Un vrai danger qui guette la santé des riverains, ajouté aux bataillons de moustiques qui pullulent à cet endroit, empêchant chaque soir, les gens de ce quartier de dormir», souligne-t-on.

Finalement, en attendant que l’Association sociale du village bouge, et les services concernés de la commune affichent un peu d’égard et de considération envers ces citoyens, ces derniers n’ont guère d’autre choix que de prendre leur mal en patience.

Mohamed Haddad

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