Eliminés de la coupe d’Algérie, vendredi dernier, par le NARB Réghaïa, les Rouge et Noir d’Amizour se concentrent plutôt sur leur prochain match de championnat de régionale I, prévu pour samedi 4 décembre à Akbou. Dans cet entretien, le portier Lyes Hamdaoui nous en parle. Ecoutons-le
La Dépêche de Kabyle : Tout d’abord, comment est l’état d’esprit du groupe après votre élimination en coupe d’Algérie ?
Lyes Hamdaoui : certes, on aurait bien aimé passer ce 4e tour pour accéder aux 1/32 de finale pour la première fois, mais que voulez-vous. On avait tout donné face au NARBR pour donner encore de la joie à nos supporters et la chance nous a trahis devant les bois adverses, ceci en plus du directeur de jeu qui a fait des siennes aussi. A présent, il ne sert à rien de revenir sur le passé car on a déjà oublié ce match de coupe pour mieux nous concentrer sur le derby face à la JS Akbou comptant pour la 7e journée.
Justement, comment préparez-vous ce match prévu à Akbou samedi prochain ?
Le plus normalement du monde. Tout le groupe s’y prépare avec abnégation et assiduité en vue d’être prêt le jour j car, pour nous, il n’est plus question de rater ce derby et, de ce fait, nous voulons profiter de la mauvaise passe des Akbouciers pour empocher les trois points de cette rencontre. Ce qui nous permettrait, dans ce cas, de rester toujours en contact avec le leader du groupe. Ceci dit, on ne doit pas perdre de vue que notre objectif principal cette saison reste l’accession en inter région et c’est donc à nous d’engranger le maximum de points à l’extérieur tout en faisant en sorte, bientôt, de faire le plein à domicile. Pour l’heure, je crois qu’on est dans nos prévisions mais je suis convaincu que le meilleur est à venir, pour peu qu’on fasse plus de sacrifices pour atteindre notre objectif.
Un dernier mot ou peut-être un message à vos fans ?
Oui, je demande à nos chers supporters de continuer à nous soutenir, car on a besoin de leurs encouragements et leurs clameurs pour nous sentir encore plus forts et motivés.
Propos recueillis par B. Ouari