Les citoyens de la ville de Lakhdaria, particulièrement ceux qui habitent le long de la rue Kemis Kara, qui s’étend du Sarridj Bikir jusqu’au village H’zama, qui se trouve sur les hauteurs de la ville, attendent toujours la réfection de la route de la grande rue et ses divisions qui passent par les autres quartiers. Selon leurs dires, la route s’est transformée en un grand espace bourbeux, et qu’il est aussi nécessaire de poser des panneaux de signalisation à ce niveau, en plus d’installer des ralentisseurs à hauteur des écoles. Cette dernière demande est motivée par le risque que prennent les écoliers qui fréquentent cette route pour atteindre leur établissement scolaire, à titre d’exemple celui de Maâdene Messaoud, sachant que des accidents sont survenus dans le passé à ce niveau, et les victimes ont été des écoliers. Dans les parages se trouve deux écoles primaires, une unité de la protection civile, un hôpital…. Un lieu donc assez fréquenté par les usagers de la route, d’où les risques qui peuvent y survenir à tout moment.
Fahem H.
