Après la publication du roman, Yahia pas de chance, un jeune homme de Kabylie, aux éditions Achab en 2009, voilà que Nabil Fares, récidive chez le même éditeur avec un second roman intitulé Il était une fois l’Algérie.
Le roman est disponible sur le marché depuis quelques semaines. L’histoire raconte un «fait divers très commun, répété durant les années dites, en Algérie, “noires” : l’enlèvement d’une jeune femme, Selma, raconté selon un mode fantastique traversant les différents personnages, Tania, fille de Selma, devenue mutique, Slimane Driif, journaliste, apprenti écrivain, Le directeur d’un journal, “La république des lettres», Linda, peintre exilée d’Algérie, un ministre de la santé un président de la République, une psychothérapeute qui, à travers des bribes d’histoires, reconstitue ce fait “divers”».
Nabil Fares est né en 1940. Il a fait des études de philosophie, de sociologie et de psychanalyse. Il a enseigné en Espagne, en Algérie et en France, maître de conférences, à l’université d’Alger, puis, en littérature comparée à l’université Stendhal, Grenoble. Il travaille, aujourd’hui, en France, en tant que psychanalyste. Il est l’auteur de deux thèses : “Littérature orale et anthropologie” et “Langue, culture et symbolique, la théorie anthropologique au Maghreb, études de littérature francophone”.
Il est également l’auteur de mémoires de l’absent, publié en 1974, Le champs des oliviers en 1972 ainsi que de nombreux ouvrages dont on trouvera la liste à l’intérieur.
N. Chebbah

