les citoyens sont obligés de faire des déplacements vers d’autres structures sanitaires, tel le CHU Nedir Mohamed à Tizi-Ouzou ou Boghni, qui possèdent des services médicaux et chirurgicaux adéquats.
Le projet de réalisation d’un hôpital de 60 lits pour la région de Ouadhias n’est toujours pas entamé. Pourtant, ledit projet a été inscrit depuis l’année 2008. En effet, les citoyens sont obligés de faire des déplacements vers d’autres structures sanitaires, tel le CHU Nedir Mohamed à Tizi-Ouzou ou Boghni, qui possèdent des services médicaux et chirurgicaux adéquats. Contrainte qui s’ajoute aux frais de transport, qui reviennent souvent très chers, et aux risques de la route. A signaler que la daïra de Ouadhias, avec plus de 50 000 habitants, n’a qu’une seule polyclinique, sise au chef-lieu de la commune, qui reçoit tous les malades de la contrée; et dont le personnel ne ménage aucun effort pour la bonne prise en charge des patients. Quant aux autres localités de la daïra, elles sont dépourvues de salles de soins, tel le village n’Aït L’hadj Ali, Tassoukit… où les villageois se déplacent vers d’autres localités limitrophe et vers le chef-lieu pour uniquement faire une injection ou un pansement, ce qui crée une surcharge pour le personnel de cette polyclinique. En tous les cas, la concrétisation de ce fameux hôpital va sûrement régler beaucoup de lacunes pour la population locale, surtout qu’il disposera d’un bloc chirurgical et que plusieurs spécialités médicales seront prises en charge.
Kamel B