Les travaux du nouveau stade de Tirsathine, sis entre Azazga et Fréha, qui ont démarré depuis belle lurette s’éternisent à tel point que la population locale désespère de voir le projet de ce stade se concrétiser un jour. Cet énorme retard a provoqué le courroux des dirigeants des clubs concernés qui se sont insurgés. Les travaux lancés il y a des années de cela, avancent à pas de tortue, même si on en arrive à la finition. La pelouse synthétique a été posée avant que le mur qui entoure le stade et les vestiaires ne soit fini, laissant le chemin aux bambins d’y jouer et aux chiens errants de l’égratigner et abîmer une partie de sa belle pelouse qui a été posée avant son initial délai, soit après la finition du mur qui entoure tout le stade. Les responsables des clubs concernés lancent un appel aux autorités compétentes concernées pour faire avancer les travaux, qui ont pris le temps de la construction d’une ville entière, pour que leurs clubs reçoivent enfin dans ce stade qui économisera beaucoup d’argent et de temps aux dirigeants de ces clubs, qui espèrent la réception de ce fameux stade au moins avant la clôture de cette saison.
Mohend Baleh Président de la JS Azazga
«Il n’y a pas de sérieux dans la gestion de ce projet»
«Comme tout le monde le sait, les travaux de ce nouveau stade se sont beaucoup éternisés à tel point qu’on a perdu l’espoir de le voir réalisé un jour. Les responsables de la construction de ce stade nous ont promis à plusieurs reprises la réception de ce stade, mais en vain. Il n’y a pas de sérieux ni de compétence dans la gestion de ce projet. Est-il normal que la pelouse synthétique soit posée avant que le mur qui entoure le stade et les vestiaires ne soit fini ? La pelouse s’abîme avec le temps, car des chiens égratignent la pelouse et des bambins y jouent souvent. On lance un appel de détresse aux autorités concernées de prendre les choses au sérieux et d’accélérer les travaux pour que nous puissions enfin recevoir dans ce stade. La plupart des clubs des autres wilayas notamment Boumerdes ont tous des stades dotés de gazon ou de pelouse synthétique, sauf nous.»
K. K.