Kallous, en raison des nombreuses habitations précaires que compte le regroupement construit en 1957, a été mis en tête de liste dès l’apparition du programme de réalisation de logements sociaux dits LSP. D’ailleurs, Kallous à démarré ce projet en 2000, bien avant Lakrarib et Aomar qui n’ont débuté les travaux qu’une année plus tard en 2001. Au niveau de l’APC de Aomar, dont relève Kallous, les chiffres présentés par les services concernés indiquant que sur les 163 logements retenus pour cette dernière, les travaux n’ont progressé que pour 72 unités, dont une bonne moitié sera attribuée en semi fini. Devant ce taux de réalisation, tout juste 44%, les responsables locaux et de wilaya n’ont pas apprécié les résultats obtenus sur le terrain après 11 ans d’activités. Ce triste constat, affirme un responsable de l’APC « a fait réagir les responsables, il constitue la préoccupation majeure de la population de Kallous. Juste après l’intervention des pouvoirs publics, le quota a connu sa destination aux familles à situation sociale précaire », affirme l’élu qui ajoute que « l’autorité a choisi le programme en LSP pour le restant du projet ». Un type de programme qui verra l’OPGI entrer en scène, incessamment, pour prendre en charge les travaux sur le site de Kallous. Les bénéficiaires n’occuperont les logements qu’en qualité de locataires. La nouvelle proposition n’en est pas à ses débuts, ni encore au stade de la réflexion, au contraire, celle-ci à fait beaucoup de chemin et se rapproche peu à peu de l’enclenchement des travaux, car signale le membre de l’exécutif de l’APC, « Le plan d’aménagement est fin prêt » Finalement, dans ce projet de construction des 163 logements de Kallous, on aura 72 unités en LSP et 90 en LSL, une première en tout cas dans la région
A. Chérif