Perspective de jumelage entre Toudja et Clermont-Ferrand

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La double célébration de la fête mondiale de l’eau et du premier anniversaire de l’inauguration du célèbre Musée d’eau de Toudja, qui a eu lieu le 25 mars dernier, dans cette municipalité sise à 20 km à l’ouest de la ville de Béjaïa, a été particulièreent marquée par la présence de l’adjoint au maire de la ville de Clermont-Ferrand (centre de la France), en l’occurrence M. Djamel Ibrahim-Ouali, lui-même originaire du village Ibarissene, relevant de la commune de Toudja. M. Aït Sahelia Salah, ex-élu à l’APC de Toudja et membre fondateur d’Akham-Ouamen, nous dira que cette visite de l’adjoint du maire de Clermont-Ferrand, chef-lieu du département Puy-de-Dôme, invité par l’association Gehimab, sous couvert de l’APC de Toudja, s’inscrit dans la volonté des deux parties d’étudier un projet de rapprochement et d’association entre les deux régions, destiné à créer des échanges culturels, entre autres. Notre interlocuteur, propriétaire du moulin à eau du village Aït Sahli, nous a indiqué en outre, qu’une délégation composée d’un élu de l’APC de Toudja et un représentant du Musée d’eau se déplaceront, très prochainement, à Clermont-Ferrand, présidée anciennement par Gerads Gistins, pour continuer l’étude de ce projet de jumelage. Il est vrai que depuis l’inauguration du Musée d’eau, la commune de Toudja est désormais connue à l’échelle internationale. C’est pourquoi aussi, l’association Gehimab milite pour que ce Musée, unique en Algérie, puisse être considéré comme un Musée national. D’ailleurs, un dossier a été déposé par ladite association, de notoriété mondiale, auprès du ministère de la culture afin d’atteindre cet objectif.

Boualem Slimani

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