l Comme à chaque année, au début de la rentrée scolaire, les habitants des villages de Maâla, Chekouih, Thibaouanine et ceux d’Izouad souffrent du manque de moyens de transport. En effet, les villageois sont confrontés à ce problème, car rejoindre leur lieu de travail et la ville de Bouira est devenu une impossibilité, puisque les transporteurs ne reviennent de la gare de Bouira qu’à leur gré. Les citoyens sont contraints de se lever tôt (vers 5 heures) pour prendre le premier bus vers Bouira ou de faire le parcours vers la localité de Zeboudja et d’attendre les fourgons venant des autres localités, d’Aomar et de Lakhdaria. “Les transporteurs sont au service des enseignants de l’établissement de Maâla”. Ce qui est constaté au début de cette matinée de samedi. Cependant, les élèves scolarisés dans divers établissements de la ville de Bouira souffrent puisqu’ils arrivent toujours en retard. Cela complique sans doute le déroulement de leurs études. Cette situation durera jusqu’à la fin de l’année scolaire, donc que doivent faire les villageois ?
A. Fedjkhi