En dépit des promesses des services de l’ADE pour remédier à la pénurie d’eau potable dont souffre le village depuis des mois, les quartiers demeurent toujours dans l’attente du règlement de cet épineux problème. En effet, les habitants de Taddert Oufela, Igharbien, Amalou et Bouchata nous ont fait savoir que leurs robinets sont toujours à sec et qu’ils continuent de subir les aléas de la canicule conjuguée à l’indisponibilité de l’eau. Un membre du comité du village d’Ighil n’Ath Chila nous declara : « Nous avons demandé aux responsables locaux, lors de la réunion du dimanche, de régler le problème dans sa totalité hélas, ce n’est pas encore fait, il n’est que partiellement résolu. Ce que je peux vous dire est que le nouveau réseau a accentué d’avantage cette rareté ». De sont coté le P/APC de la localité de Tizi N’Tléta, nous informe que le nouveau réseau est récemment réceptionné mais que les services de l’hydraulique ont trouvé que la nouvelle conduite, dans les quartiers en question, est obstruée et que cela nécessitait des travaux de nettoyage et d’entretien : « les services concernés ont conscients de ce problème et l’entreprise est sur place pour effectuer les dernières retouches », affirme-t-il. On Apprend, également, que les habitants du village d‘Ath l‘Hadj Ali sont privés, eux aussi, de cette commodité vitale. Ce qu’il faut dire à propos de ce manque d’eau, est que les services concernés ont mis du temps pour sa concrétisation, les citoyens, en cette période de chaleur ressentent, beaucoup plus, le besoin de ce liquide.
M. Z.