Le 13 septembre de chaque année est célébrée la Journée mondiale du legs, en faveur des associations et des fondations. Cette journée, instituée officiellement par l’Unicef, en 2011, est un moyen efficace et avantageux de prolonger durablement sa contribution à un monde meilleur et de sauver des enfants, selon l’Organisation des Nations-Unies (ONU). Le Fonds des Nations-Unies pour l’enfance (Unicef), pour sa part, affirme que la Journée internationale du legs est une formidable opportunité pour tout un chacun de réfléchir à cette démarche vertueuse.
En tout cas, depuis plusieurs années, celle-ci s’impose comme l’un des plus importants moyens de financement des activités de cette instance onusienne. Par ailleurs, il est à mentionner que dans beaucoup de pays, cette célébration est mise à profit par de plus en plus de personnes pour aider les associations et les organisations de protection de l’environnement. En effet, de plus en plus de personnes âgées vivant dans ces contrées consacrent une partie de leur patrimoine pour la protection des animaux en détresse. Dans ces pays où la culture du legs est très développée, de nombreuses personnalités mettent aussi une partie de leur patrimoine au service de ces cadres associatifs pour un monde meilleur.
A noter que l’avantage de cette Journée est de pouvoir mettre en relief cette capacité à continuer d’agir pour le bien du monde bien après sa mort. Mais huit années après son institution, il n’y a aucune trace de ce gisement de financements de nombreux projets dans notre pays. Même les institutions officielles passent sous silence cette belle occasion pleinement humanitaire. Léguer une partie de ses biens ne signifie pas uniquement l’argent, explique l’Unicef. La personne qui décide de prendre part à cette opération a le choix sur la nature du legs qu’elle compte laisser à la postérité.
L’essentiel est que l’objectif doit être bien notifié par une procédure juridique que cette organisation onusienne laisse au choix des pays, selon leur législation propre. Il est à noter que cette forme de participation à l’action humanitaire est toute nouvelle et que beaucoup de sociétés ont des ressorts spécifiques pour le même objectif. Dans la nôtre, la participation aux actions de ce genre est gérée par la collectivité qui cadre toute volonté individuelle. Dans ces sociétés où l’individu à moins de marge de manœuvre, c’est le groupe qui gère la collectivité. Le legs est alors laissé à la volonté des héritiers, qui ont le devoir de transmettre oralement la volonté du défunt aux autres membres du groupe.
A. N.